Là,
Tourner lentement dans les remous d’un fleuve
Passer
Les démons bleus des idées sombres
Passer
Les jours qui s’étirent
Dans l’effarement des étoupes noires.
Et chanter ou jouer,
Dire,
(Traduire) :
Un état d’âme,
(The tale of which)
Comme à l’adresse des puissants au jardin du couvent,
Une farce en un acte
«Pour princesse des baleines»,
The blues loose version,
Avril, toujours en scène,
Ici d’ailleurs,
Et toujours sur dans les voix qui s’intègrent :
Un champ néophone
(s’écoule, s’égrène).
Puis, avant,
(après, un acte, acte premier même antienne),
Blue (rain, pain),
L’horizon de nos yeux,
Lamenter le temps,
La traîne,
Mais se dire
Qu’on finira par chasser la cabosse des heures,
Comme l’un dit
Une note d’espérance en majeur :
Rire,
Rouler les rocs,
Ou, cédant au mouvement,
Comme une chose qui tombe au ciel,
Chercher un fond au paysage,
Trouver refuge
Dans la valeur d’une poésie
Arbustive.
Puis,
Encore,
Au troisième bord,
(No man is an island, et toujours un dans plusieurs),
Confondre la rumeur, ne plus savoir les sons,
Çà, là,
Paraître
Rêver
Revenir à soi,
Transposer –
ʾāzraq, bulhi, şîn, âbi, kabud, mavi, alkama, zvitema,
bluu,
Deux rois, moi,
(Le monde est bleu – noir),
Puis.
EG, In/Out – Plage 2