DAVID CHIESA

FRANÇOIS ROSSÉ

Photo © Bruce Milpied (Hans Lucas)

BIOGRAPHIE

Travaillant depuis 1997 sur la notion d’improvisation,  David Chiesa nourrit son travail de la relation aux autres pratiques artistiques :

La danse (avec Fine Kwiatkowski, Marie Cambois, Véronique Albert, Yukiko Nakamura, Abdesalam Raji, Masaki Iwana…). La poésie (avec Ly Thanh Tien, Charles Pennequin…). Le cinéma expérimental (avec Xavier Quérel, Gaëlle Rouard…). La lumière (Christophe Cardoen, Sébastien Perroud, Julien Lobbedez…).

Son jeu s’appuie sur la matière du réel et l’individualité dans l’improvisation. Il est aussi fortement influencé par les articulations propres aux musiques électro-acoustiques avec lesquelles il collabore régulièrement. Après avoir participé à l’aventure du réseau d’artistes La Flibuste et avoir travaillé avec le Collectif Ouie Dire, il co-fonde l’association Le Clou engagée dans la réflexion et la diffusion des pratiques de l’improvisation.

En tant qu’improvisateur, il participe à de nombreuses rencontres et multiplie les collaborations sur le long terme avec des musiciens tels que Jean Luc Guionnet, Mathieu Werchowski, Jean-Sébastien Mariage,  Anne Julie Rollet… Il a joué en Europe, aux États Unis, au Liban, en Afrique, au Japon, en Estonie.

Il est à l’origine de la création du UN Ensemble, orchestre contemporain composé de 24 musiciens, qui se consacre aux formes musicales et sonores novatrices.

CONCERTS

// LE UN ENSEMBLE

En duo avec :

/// SÉBASTIEN PERROUD (L.S.D. : Laser Sonic Distorsion)

/// THOMAS BERNARD (Mabrouk et Rouky)

/// FRANÇOIS ROSSÉ

 En trio avec :

/// DIDIER LASSERRE ET MATHIAS PONTEVIA (Drum Noise Poetry)

 Pièce :

/// TU PEUX FAIRE N’IMPORTE QUOI, MAIS LAISSE MES CHAUSSURES EN DAIM BLEU TRANQUILLES – SYLVIE BALESTRA (danse), DAVID CHIESA (basse électrique), DENIS LOUIS (Lumière)

PRESSE

Le trio Chiesa (contrebasse) – Pallandre (paysagiste sonore) – Pichelin (synthèse analogique) présentait ce matin-là, dans la salle de la Maison de la Vallée, une coproduction du festival NPAI de Parthenay et de Jazz à Luz. A partir d’enregistrements de sons concrets (chants d’oiseaux, bruits d’eau et de mécaniques, paroles d’artisans…) mixés sur le vif et d’une contrebasse aérienne qui s’ajoute aux sons sans les commenter, les trois hommes nous proposent une vision tout en nuances, du presque rien à la stridence, pour revenir aux bruits infimes d’un marais au crépuscule. Un peu comme le film sonore d’une journée dans la campagne poitevine.
©Citizen Jazz

MÉDIAS